Ce qu'en dit l'éditeur :
Le temps des funérailles d'une arrière-grand-mère, quatre générations
de femmes se trouvent confrontées à la découverte d'un douloureux
secret de famille. Un premier roman qui explore avec délicatesse les
mécanismes inconscients de transmission de mères en filles.
Lia vient d'avoir vingt ans. À la mort de son arrière-grand-mère, elle se retrouve dans sa maison de famille, dans les Landes, avec sa mère, sa grand-mère et la meilleure amie de la défunte. Durant ces quelques jours de funérailles, de deuil et d'intimité partagée, vient le moment d'échanger ses souvenirs, mais aussi de mettre de l'ordre dans les affaires de l'aïeule. Lia découvre à cette occasion des carnets de notes et des lettres soigneusement consignés dans une boîte à chaussures. À sa grande surprise, ces écrits relatent une version bien différente de la disparition du mari de son arrière-grand-mère que celle racontée depuis toujours dans le cercle familial. Poignantes, ces lettres révèlent surtout un destin brisé par la honte et le chagrin.
Lia doit-elle garder pour elle un secret jalousement protégé pendant soixante ans par son arrière-grand-mère ? Ces révélations ne risquent-elles pas de déclencher un cataclysme parmi ces quatre générations de femmes ? Et que faire de l'image si lisse, et en vérité si faussée, qu'elle avait de cette très vieille dame ? Comment lui pardonner son mensonge ? Les conséquences de cette falsification de l'histoire familiale s'éclairent peu à peu dans l'esprit de la jeune fille et bousculent son propre rapport à la famille, aux hommes, à l'amour. Car c'est toute une lignée de femmes qui semble en avoir été victime, en porter les stigmates.
Roman initiatique, Le Cercle des femmes démontre qu'un secret de famille marque – radicalement parfois – toute une descendance. Telle cette tribu très attachante qui a laissé peu de place à l'élément masculin dans le huis clos familial, sans jamais en saisir la raison. Lia saura-t-elle transformer ce sentiment de trahison en pardon ? Sa colère en bienveillance ? Saura-t-elle rompre la fatalité du « cercle des femmes » pour s'ouvrir aux hommes et à l'amour ? Servi par une écriture originale, pleine de fraîcheur, Le Cercle des femmes est porté par une petite musique qui nous entraîne d'une page à l'autre dans une galerie de personnages féminins aussi touchants que fantasques.
Lia vient d'avoir vingt ans. À la mort de son arrière-grand-mère, elle se retrouve dans sa maison de famille, dans les Landes, avec sa mère, sa grand-mère et la meilleure amie de la défunte. Durant ces quelques jours de funérailles, de deuil et d'intimité partagée, vient le moment d'échanger ses souvenirs, mais aussi de mettre de l'ordre dans les affaires de l'aïeule. Lia découvre à cette occasion des carnets de notes et des lettres soigneusement consignés dans une boîte à chaussures. À sa grande surprise, ces écrits relatent une version bien différente de la disparition du mari de son arrière-grand-mère que celle racontée depuis toujours dans le cercle familial. Poignantes, ces lettres révèlent surtout un destin brisé par la honte et le chagrin.
Lia doit-elle garder pour elle un secret jalousement protégé pendant soixante ans par son arrière-grand-mère ? Ces révélations ne risquent-elles pas de déclencher un cataclysme parmi ces quatre générations de femmes ? Et que faire de l'image si lisse, et en vérité si faussée, qu'elle avait de cette très vieille dame ? Comment lui pardonner son mensonge ? Les conséquences de cette falsification de l'histoire familiale s'éclairent peu à peu dans l'esprit de la jeune fille et bousculent son propre rapport à la famille, aux hommes, à l'amour. Car c'est toute une lignée de femmes qui semble en avoir été victime, en porter les stigmates.
Roman initiatique, Le Cercle des femmes démontre qu'un secret de famille marque – radicalement parfois – toute une descendance. Telle cette tribu très attachante qui a laissé peu de place à l'élément masculin dans le huis clos familial, sans jamais en saisir la raison. Lia saura-t-elle transformer ce sentiment de trahison en pardon ? Sa colère en bienveillance ? Saura-t-elle rompre la fatalité du « cercle des femmes » pour s'ouvrir aux hommes et à l'amour ? Servi par une écriture originale, pleine de fraîcheur, Le Cercle des femmes est porté par une petite musique qui nous entraîne d'une page à l'autre dans une galerie de personnages féminins aussi touchants que fantasques.
Ce que j'en ai pensé :
J’avais repéré ce premier roman dans la longue liste des nouveautés de
la rentrée littéraire et je me suis laissée tenter. Si le style est
très agréable à lire et que les pages se tournent vite, je reste sur
une impression mitigée.
J’ai eu d’abord beaucoup d’empathie pour ces personnages féminins, chacun représentant finalement assez bien une époque (chaque génération est représentée : la provinciale née au début du siècle, sa fille qui monte à Paris dans les années 60 pour s’émanciper, la petite-fille qui fait de sa passion son métier et qui élève seule sa fille, l’arrière-petite-fille qui se cherche socialement et sentimentalement à notre époque). Et puis, à force, j’ai fini par m’agacer un peu de ce qui pourrait être une caricature, par trouver la narratrice un peu trop gamine et égoïste.
Je n’ai finalement vraiment aimé qu’un seul personnage féminin, celui de Marie, vraie femme libre qui ne se revendique d’aucun combat féministe, qui ne se glorifie pas d’écraser les hommes ou de les mépriser. J’ai presque apprécié ce personnage tant détesté de l’arrière-grand-père disparu avec une autre femme et que la narratrice retrouve, quasi grabataire et dont la rencontre lui sert à briser le fameux cercle d’infortune conjugale…
Il m’est donc resté après cette lecture un sentiment diffus de roman « facile », un peu convenu, même si je reconnais que la prose m’a plu et que j’ai trouvé les mots agréables, parfois poétiques. Après tout, c’était pas si mal pour un premier roman !
J’ai eu d’abord beaucoup d’empathie pour ces personnages féminins, chacun représentant finalement assez bien une époque (chaque génération est représentée : la provinciale née au début du siècle, sa fille qui monte à Paris dans les années 60 pour s’émanciper, la petite-fille qui fait de sa passion son métier et qui élève seule sa fille, l’arrière-petite-fille qui se cherche socialement et sentimentalement à notre époque). Et puis, à force, j’ai fini par m’agacer un peu de ce qui pourrait être une caricature, par trouver la narratrice un peu trop gamine et égoïste.
Je n’ai finalement vraiment aimé qu’un seul personnage féminin, celui de Marie, vraie femme libre qui ne se revendique d’aucun combat féministe, qui ne se glorifie pas d’écraser les hommes ou de les mépriser. J’ai presque apprécié ce personnage tant détesté de l’arrière-grand-père disparu avec une autre femme et que la narratrice retrouve, quasi grabataire et dont la rencontre lui sert à briser le fameux cercle d’infortune conjugale…
Il m’est donc resté après cette lecture un sentiment diffus de roman « facile », un peu convenu, même si je reconnais que la prose m’a plu et que j’ai trouvé les mots agréables, parfois poétiques. Après tout, c’était pas si mal pour un premier roman !
Ce livre faisait également partie des premiers repérés dans cette rentrée littéraire... mais les critiques des uns et des autres m'en ont éloignée.
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