Editions
de l'Iconoclaste
Parution
: 29 août 2018
198
pages
Ce
qu'en dit l'éditeur :
Ce
matin-là, il a roulé. Roulé jusqu’à la panne sèche. Roulé
jusqu’à se retrouver au beau milieu d’un désert. Mais au
loin clignote l’enseigne d’un vieux motel. C’est là qu’il
pose ses valises. Peu à peu, il y rencontre Stella, une
ancienne
amante, Ilda, une vieille dame aux allures d’actrice
hollywoodienne, Théo un berger et ses animaux mécaniques…
Le motel est une poupée russe dans laquelle s’emboîtent des vies. Mais plus encore, toutes les vies qui auraient pu être la sienne.
Julien Cabocel érige un monde de papier fulgurant. Un univers onirique où se logent les désirs enfouis, les amours perdues, les occasions manquées. Et où tout redevient enfin possible.
Le motel est une poupée russe dans laquelle s’emboîtent des vies. Mais plus encore, toutes les vies qui auraient pu être la sienne.
Julien Cabocel érige un monde de papier fulgurant. Un univers onirique où se logent les désirs enfouis, les amours perdues, les occasions manquées. Et où tout redevient enfin possible.
Ce
que j'en ai pensé :
Drôle
d'endroit et drôles de rencontres...
Autour du patio d'un motel décati, Dom arrivé là par hasard et par lassitude, va découvrir une étrange communauté dont les vies s'enchevêtrent (chaque rencontre en provoque une nouvelle) : Dan et son Rubik's Cube, Stella et Vic la gamine, Théo et ses animaux énigmatiques faits de tubes, Gene et son treuil d'aérodrome, Millie la tatoueuse pas tatouée, etc...
Une galerie fantaisiste de personnages un peu foutraques, en décalage, attachants et sensibles...des fantômes ? d'une vie passée ou d'une vie rêvée ?
"Le Bazaar existait bel et bien. peu importe où. Il s'élevait quelque part pour abriter les possibles, héberger toutes les vies que j'aurais pu avoir, tous ceux que j'aurais pu être.
Et je savais m'y rendre."
Autour du patio d'un motel décati, Dom arrivé là par hasard et par lassitude, va découvrir une étrange communauté dont les vies s'enchevêtrent (chaque rencontre en provoque une nouvelle) : Dan et son Rubik's Cube, Stella et Vic la gamine, Théo et ses animaux énigmatiques faits de tubes, Gene et son treuil d'aérodrome, Millie la tatoueuse pas tatouée, etc...
Une galerie fantaisiste de personnages un peu foutraques, en décalage, attachants et sensibles...des fantômes ? d'une vie passée ou d'une vie rêvée ?
"Le Bazaar existait bel et bien. peu importe où. Il s'élevait quelque part pour abriter les possibles, héberger toutes les vies que j'aurais pu avoir, tous ceux que j'aurais pu être.
Et je savais m'y rendre."
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