Ce qu'il reste - Elena VARVELLO

Editions du Livre de Poche
Parution : 9 janvier 2019
Titre original : La vita felice
Traduction : Marc Lesage
256 pages


Ce qu'en dit l'éditeur :


« En août 1978, l’été où j’ai rencontré Anna Trabuio, mon père a entraîné une fille dans les bois. Il s’était arrêté avec sa fourgonnette sur le bord de la route, avant le coucher du soleil, il lui avait demandé où elle allait, il lui avait dit de monter.
Elle a accepté qu’il la dépose parce qu’elle le connaissait. »

Ponte, nord de l’Italie. 

Cet été-là, Elia Furenti, seize ans, est en proie aux affres de l’adolescence - ses amitiés fragiles, ses questionnements, ses premiers émois amoureux. Mais, au-dessus de ces profonds tourments, plane l’ombre d’un drame familial infiniment plus grand. 

Trente ans après, Elia raconte cet été où tout a basculé, et ce qu’il en reste.

Ce que j'en ai pensé :

Ce polar avait tout pour me plaire : l'Italie, un été caniculaire, des adolescents à la découverte d'eux-même (et de leurs premiers émois), une sombre histoire de gamin disparu.

Pourtant, je me suis un peu ennuyée alors que j'ai aimé tout ce qui me liait au postulat de départ. J'ai cru m'attacher à Elia et à son pote Stefano, j'ai senti vibrer la chaleur de l'été, me suis laissée emporter par la folie glauque du père (schizophrène à tendance paranoïde ?), compati à la douleur des femmes, et non, au final, j'avais hâte d'en finir. 

La faute à la narration (ou à la traduction ?), l'ensemble m'a paru un peu décousu, presque brouillon et je n'ai finalement pas été touchée par cette histoire...

4 commentaires:

  1. L'Italie et moi ça fait deux, et ton billet me dit que je peux passer mon chemin avec ce roman

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  2. j'aime bcp l'Italie, mais je vais passer mon tour quand même!

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  3. Un de moins à noter, ce qui n'est pas pour me déplaire. Je souffle un peu...!

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  4. Une mauvaise pioche on dirait. vite, au suivant !

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