Trois
polars de plus, trois très bons polars d'Arnaldur INDRIDASON ! Je
suis fan, définitivement !
Je
suis un peu paresseuse, pour l'instant je me dispense de rédiger mes
avis...
Titre
original : Harðskafi
traduction
: Eric Boury
éd
Métailié - 304 pages
Ce
qu'en dit l'éditeur :
C’est l’automne. Maria, une femme d’une cinquantaine d’années, est retrouvée pendue dans son chalet d’été sur les bords du lac du Thingvellir par Karen, sa meilleure amie. Après autopsie, la police conclut à un suicide. Quelques jours plus tard, Erlendur reçoit la visite de Karen qui lui affirme que ce n’était pas "le genre" de Maria de se suicider. Elle lui remet une cassette contenant l’enregistrement d’une séance chez un médium que Maria est allée consulter afin d’entrer en contact avec sa mère décédée deux ans plus tôt, qui lui avait promis de lui envoyer un signe de l’au-delà. Aussi dubitatif que réticent, Erlendur lui promet d’écouter l’enregistrement tout en lui répétant que ni l’enquête ni l’autopsie n’ont décelé le moindre élément suspect. L’audition de la cassette le convainc cependant de reprendre l’investigation à l’insu de tous. Il découvre que l’époux de Maria a eu un passé agité, qu’il a une liaison avec l’une de ses anciennes amours, qu’il est endetté et que Maria possédait une vraie fortune. Une intrigue parallèle nous raconte l’histoire d’un jeune couple disparu lors d’une promenade sur le lac. Et nous avons enfin des informations sur la nature des relations d’Erlendur avec son ex-épouse, Halldora. Le thème sous-jacent de ce roman est la question de la validité des histoires de fantômes dont les Islandais, souvent, n’excluent pas l’existence. Il pose aussi la question du deuil, un thème transversal dans l’œuvre d’Arnaldur.
Titre
original : Myrká
traduction
: Eric Boury
éd
Métailié - 304 pages
Ce
qu'en dit l'éditeur :
Dans
un appartement à proximité du centre-ville, un jeune homme gît,
mort, dans un bain de sang. Pas le moindre signe d’effraction ou de
lutte, aucune arme du crime, rien que cette entaille en travers de la
gorge de la victime, entaille que le légiste qualifie de douce,
presque féminine. Dans la poche de sa veste, des cachets de
Rohypnol, la drogue du viol…
Il semblerait que Runolfur ait agressé
une femme et que celle-ci se soit ensuite vengée. Un châle pourpre
trouvé sous le lit dégage un parfum puissant et inhabituel
d’épices, qui va mettre Elinborg, l’adjointe d’Erlendur et
cuisinière émérite, sur la piste d’une jeune femme. Mais
celle-ci ne se souvient de rien, et bien qu’elle soit persuadée
d’avoir commis ce meurtre rien ne permet vraiment de le prouver.
Des indices orientent les inspecteurs vers d’autres sévices
soigneusement tenus secrets.
En l’absence du commissaire Erlendur,
parti en vacances, toute l’équipe va s’employer à comprendre le
fonctionnement de la violence sexuelle, de la souffrance devant des
injustices qui ne seront jamais entièrement réparées, et découvrir
la rivière noire qui coule au fond de chacun.
Titre
original : Svörtuloft
traduction
: Eric Boury
éd
Métailié - 350 pages
Ce
qu'en dit l'éditeur :
La
Muraille de lave à laquelle fait allusion le titre est une falaise
de basalte au pied de laquelle un tourbillon violent engloutit toutes
les embarcations qui s’approchent. C’est aussi le surnom qui a
été donné au siège social d’une grande banque, l’architecture
sombre et aux pratiques discutables.
Le commissaire Erlendur est
parti en vacances sur les lieux de son enfance et il a disparu, mais
son équipe continue à travailler. Tandis que Elinborg, la fine
cuisinière, s’occupe d’une affaire de viol (La Rivière noire),
Sigurdur Oli, le moderne formé aux États-Unis, reconnaît par
hasard dans la rue l’un des témoins de l’affaire de pédophilie
en partie résolue dans La Voix.
Ce même jour, un ami lui demande
d’aider un couple de cadres qui, pratiquant l’échangisme, fait
l’objet d’un chantage. Troublé par ses problèmes de nouveau
divorcé, Sigurdur Oli va cependant aller jusqu’au bout d’une
histoire qui lui révèle la cupidité qui s’est emparée de la
société islandaise avec l’expansion mondiale des modèles
financiers.
Je suis tombée dedans depuis la sortie du premier il y a des années (et ma mère aussi) donc chaque année en février j'achète le nouvel opus ;-)
RépondreSupprimerJ'attends le prochain !! il doit m'en rester deux ou trois à lire ;o)
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