Editions
du Masque (poche)
Parution
: 15 mars 2017
446 pages
Ce
qu'en dit l'éditeur :
Une
Vénus datant de plus de 15 000 ans vient d’être découverte
dans la grotte de Combéjac. Skander Corsaro, jeune journaliste
fraîchement engagé au Courrier du Sud-Ouest, se rend au village de
Mont-Rouquel, proche de la grotte, afin d’y faire un reportage sur
le patrimoine historique du secteur.
Bâti sur un piton rocheux des contreforts du Massif Central, Mont-Rouquel est un de ces villages oubliés par la modernité. Le monde agricole y périclite sans espoir de retour. La plupart des habitants travaillent en ville. Retraités et chômeurs constituent l’essentiel de la population… Bref, au bout d’une journée, Skander Corsaro craint de mourir d’ennui au cours de son reportage.
Mais le lendemain, la disparition inquiétante d’une enfant du village est signalée. Skander, qui n’a jamais su se mêler de ce qui le regarde, décide de mener l’enquête… à sa façon.
Une deuxième enquête brillante de Skander Corsaro sur fond de sectes et de querelles familiales où l’on s’interroge sur la nature de l’homme et son devenir.
Ce que j'en ai pensé :
Il en a de l'humour FH Soulié ! Et ces rompols ont un côté jubilatoire qui me réjouit !
J'avais déjà beaucoup aimé Il n'y a pas de passé simple (oui, l'auteur joue avec la conjugaison !) que j'avais trouvé à la fois érudit et drôle, ce nouvel opus confirme tout le bien que j'en pense !
On retrouve évidemment Skander Corsaro, petit reporter affecté à la rubrique culture d'un journal du Sud-Ouest, qui se retrouve (involontairement, ça va de soi) au milieu d'une enquête pour disparition d'enfants alors qu'il venait dans ce bled paumé du Causse pour couvrir la découverte d'une statuette préhistorique.
Drôle de patelin en vérité ! Alcooliques, maire corrompue, anciennes vedettes, aubergistes passionnés de Columbo, et un drôle de personnage adepte de Henry David Thoreau...et évidemment, le pote homo, le poisson "jaune", le libraire, les "pauvre chat" de Milly, affectée aux petites annonces et, bien sûr, la narcolepsie parfois providentielle du héros.
La narration est toujours parfaite, l'érudition à l'affût, les bons mots déroulés sans complexes (combien de fois ai-je souri ?) et l'intrigue tient la route !
Ce n'est certes pas un polar sanguinolent ni un "rural noir" à la mode, mais c'est un vrai moment de plaisir, une lecture réjouissante (et l'écriture travaillée témoigne du talent de l'auteur !).
(Si vous le cherchez sur le site du Masque, ou chez tout autre dealer de littérature, il est indiqué que le livre compte 248 pages....il y en a 200 de plus ! comme le précédent tome, celui-ci est sorti directement en format poche.)
Bâti sur un piton rocheux des contreforts du Massif Central, Mont-Rouquel est un de ces villages oubliés par la modernité. Le monde agricole y périclite sans espoir de retour. La plupart des habitants travaillent en ville. Retraités et chômeurs constituent l’essentiel de la population… Bref, au bout d’une journée, Skander Corsaro craint de mourir d’ennui au cours de son reportage.
Mais le lendemain, la disparition inquiétante d’une enfant du village est signalée. Skander, qui n’a jamais su se mêler de ce qui le regarde, décide de mener l’enquête… à sa façon.
Une deuxième enquête brillante de Skander Corsaro sur fond de sectes et de querelles familiales où l’on s’interroge sur la nature de l’homme et son devenir.
Ce que j'en ai pensé :
Il en a de l'humour FH Soulié ! Et ces rompols ont un côté jubilatoire qui me réjouit !
J'avais déjà beaucoup aimé Il n'y a pas de passé simple (oui, l'auteur joue avec la conjugaison !) que j'avais trouvé à la fois érudit et drôle, ce nouvel opus confirme tout le bien que j'en pense !
On retrouve évidemment Skander Corsaro, petit reporter affecté à la rubrique culture d'un journal du Sud-Ouest, qui se retrouve (involontairement, ça va de soi) au milieu d'une enquête pour disparition d'enfants alors qu'il venait dans ce bled paumé du Causse pour couvrir la découverte d'une statuette préhistorique.
Drôle de patelin en vérité ! Alcooliques, maire corrompue, anciennes vedettes, aubergistes passionnés de Columbo, et un drôle de personnage adepte de Henry David Thoreau...et évidemment, le pote homo, le poisson "jaune", le libraire, les "pauvre chat" de Milly, affectée aux petites annonces et, bien sûr, la narcolepsie parfois providentielle du héros.
La narration est toujours parfaite, l'érudition à l'affût, les bons mots déroulés sans complexes (combien de fois ai-je souri ?) et l'intrigue tient la route !
Ce n'est certes pas un polar sanguinolent ni un "rural noir" à la mode, mais c'est un vrai moment de plaisir, une lecture réjouissante (et l'écriture travaillée témoigne du talent de l'auteur !).
(Si vous le cherchez sur le site du Masque, ou chez tout autre dealer de littérature, il est indiqué que le livre compte 248 pages....il y en a 200 de plus ! comme le précédent tome, celui-ci est sorti directement en format poche.)
Je ne connais pas cet auteur mais tu le vends bien ! je suis très curieuse, je vais voir s'il est dispo à la BM. 200 pages deplus ? oui c'est bon à savoir ! quel drôle de nom pour ce journaliste !
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