Editions
Alma
Parution
: 25 août 2016
234
pages
Ce
qu'en dit l'éditeur :
Un
soir chez des amis, O. rencontre Loren, une acrobate fougueuse et
libre aux cheveux couleur de seigle. Ils s’éprennent follement,
s’étreignent et s’aiment le jour et la nuit dans la ville qui
leur ouvre les bras. Mais Loren disparait sans un mot. Inconsolable,
têtu O. la cherche jusqu’à Tombelaine en Normandie. Là, il
apprendra pourquoi la jeune fille si solaire et fragile, est partie
sans pouvoir laisser d’adresse.
Librement
inspiré d’Orphée et
Eurydice, le ballet de
Pina Bausch, Danse
d’atomes d’or propose
une nouvelle version du mythe. Ici, Eurydice n’a pas besoin
d’Orphée…
D’une
beauté à couper le souffle, écrit avec la rage de vivre, le
premier roman d’Olivier Liron s’inscrit dans le droit fil de
L’écume des jours de
Boris Vian.
Ce
que j'en ai pensé :
Poème
en prose, voila ce qui pourrait résumer ce roman assez étonnant,
qui ne saurait être que ça !
De
la sensualité et pas mal de fantaisie, une virevolte de mots, de
sentiments amoureux, des références culturelles à la pelle (outre
le mythe d'Orphée et Eurydice, "surtout ne te retourne pas"),
des déambulations mi-réelles mi-poétiques.
Et
puis la perte de l'être aimé, la douleur, le vide, le manque et..la
quête de traces, d'ombres, de mots et d'images laissés en souvenir.
Un
très joli premier roman, plein de promesses, qui enchante par sa
langue maîtrisée, joyeuse, joueuse !
Un auteur à suivre !
Un auteur à suivre !
"Les
soirs de mai font penser à l'enfance. Ils sont irréfutables comme
elle, comme elles fatals, porteurs d'une promesse de bonheur infini
que la vie ne tiendra jamais."
Je passe mon tour. Il semble trop poétique à mon goût, ce petit roman. J'ai besoin du plancher des vaches!
RépondreSupprimerOn est assez loin du plancher des vaches en effet !
SupprimerRien que pour Tombelaine (mais que va-t-elle faire sur ce rocher???), je veux le lire.
RépondreSupprimerA suivre, donc ☺️