Amanda
est morte, assassinée. Fait étrange, les quatre doigts de sa main
droite ont été sectionnés. Ne reste que le pouce. Et une suspecte
toute désignée : sa voisine et meilleure amie, Jennifer White,
ancien chirurgien orthopédiste.
Sauf
que Jennifer est atteinte de la maladie d'Alzheimer et qu'elle ne se
souvient de rien. Difficile pour elle de prouver son innocence.
D'autant qu'elle avait tout un tas de bonnes raisons pour en vouloir
à Amanda et qu'on retrouve chez elle le bistouri et les lames,
cachées dans un tiroir.
J'ai
d'abord été un peu déconcertée par l'alternance de graphies du
roman, dans les paragraphes assez courts se juxtaposent italique et
police standard. C'est assez étonnant comme procédé mais ça ne
gêne finalement pas la narration. Même si j'ai regretté que la fin
soit prévisible et qu’étonnamment, alors que certains personnages
sont très convenus, il manquait un inspecteur de police acharné :
la police est quasi invisible dans ce roman que j'ai pourtant aimé
pour son sujet original et plutôt bien exploité.
Je lui attribué la note de 14/20.
Je l'ai bien aimé aussi....j'aime le traitement de la maladie, je regrette juste un roman de femmes...ou les hommes sont faibles, corrompus ou ratés
RépondreSupprimerJ'ai bien aimé, je l'ai trouvé original et assez angoissant par le traitement de la maladie. En fait on découvre les événements au travers du regard brumeux de Jennifer.
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