éd Actes Sud - 288 pages
Ce qu'en dit l'éditeur :
Graceland, 16 août 1977, Elvis Presley
disparaît et laisse derrière lui des millions d’adorateurs éperdus.
Crépuscule du Roi du Rock. Jusqu’à la fin, la longue fréquentation du
désastre ne lui avait pas fait perdre toute sa candeur.
Dix-sept
ans plus tard, Yvonne entre au service de John White, un vieil
Américain au physique fragile. Elle va passer vingt ans à ses côtés,
tissant une relation de dépendance avec cet homme dont elle ne sait rien
et qu’elle s’efforce de sauver d’une fin misérable. La vie de White et
celle d’Elvis s’entrelacent, dessinant des créatures identiques dans
leur difformité et leur isolement. Entre les deux, il est possible qu’un
lien existe – à moins qu’ils ne se soient croisés que dans ce roman…
Ecrivain belge née en 1976, Caroline de MULDER
est aussi professeur de littérature à Namur.
Ce que j'en ai pensé :
Dommage...J'y ai cru, j'y reviendrai sans doute plus tard, mais ce roman qui m'intéresse pourtant me laisse sur le côté. Deux histoires se superposent, celle d'Elvis shooté aux médicaments et si émouvant dans sa solitude et son désespoir, et celle de ce drôle de couple : le vieil américain excentrique et sa toute nouvelle gouvernante qu'on devine (peut-être) pleine de surprises..
Mais non, la narration m'horripile avec sa succession de mots pas séparés par des virgules, qui empêchent de reprendre son souffle, de profiter du rythme (un peu ce que je reprochais à Karine TUIL). Je n'aime pas cette littérature qui saccade, essouffle, j'ai l'impression de ne pas avoir le temps de savourer les phrases..
Je l'abandonne, on verra si l'envie revient, pour l'instant, je suis déçue !
Je n'ai pas du tout aimé ce livre malheureusement :/
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