éd STOCK - mars 2014 - 224 pages
Ce qu'en dit l'éditeur :
Mathilde aimerait bien devenir chocolatière mais elle est trop diplômée
pour ça. Elle ne sort pas beaucoup et n’aime pas se déguiser. Ce qu’elle
préfère, c’est regarder le concours de Miss France à la télé en
mangeant des palets bretons trempés dans du lait. Quand elle avait sept
ans, Mathilde a été traumatisée par la mort de Romy Schneider. À
trente-quatre ans, elle pense encore à Julien, et Éléonore, sa meilleure
amie, est décidée à lui trouver un bon parti.
Lucien est pédiatre, il aime les films avec Jean-Louis Trintignant, et Deauville. Il n’aime pas tellement danser. Ça remonte à son enfance, à l’époque des premières boums ratées. Chaque année, au Nouvel An, il envoie une carte de voeux à ses parents. À trente-cinq ans, il est célibataire. Il aimerait bien que ça change. Mais il n’est pas très à l’aise avec les SMS, alors c’est pas gagné.
Mathilde et Lucien habitent le même immeuble mais ne le savent pas.
Un jour, le nouveau voisin les invite à sa soirée déguisée. La Blancheur qu’on croyait éternelle est l’histoire de deux solitudes, deux sentimentaux perdus dans un monde plus vraiment sentimental.
Lucien est pédiatre, il aime les films avec Jean-Louis Trintignant, et Deauville. Il n’aime pas tellement danser. Ça remonte à son enfance, à l’époque des premières boums ratées. Chaque année, au Nouvel An, il envoie une carte de voeux à ses parents. À trente-cinq ans, il est célibataire. Il aimerait bien que ça change. Mais il n’est pas très à l’aise avec les SMS, alors c’est pas gagné.
Mathilde et Lucien habitent le même immeuble mais ne le savent pas.
Un jour, le nouveau voisin les invite à sa soirée déguisée. La Blancheur qu’on croyait éternelle est l’histoire de deux solitudes, deux sentimentaux perdus dans un monde plus vraiment sentimental.
Virginie Carton est née à Lille en 1972.
Son premier roman, Des Amours dérisoires
a paru chez Grasset en 2012.
Ce que j'en ai pensé :
Lecture-plaisir avec ce roman tendre et nostalgique de Virginie Carton...
C'est doux-amer, c'est un peu convenu (dès les premières pages, on
connaît la fin), mais c'est délicieux ! Dans un monde de presque
quadragénaires, on cherche l'âme sœur, on regrette son enfance, on se
remémore les années 1980 (ah les refrains entêtants ! ça m'a beaucoup amusée de retrouver quelques "tubes" du TOP50 de l'époque !!), on se la joue
chabada-bada... Trintignant à Deauville, la peur des fantômes et des
voisins qui refusent de grandir, l'amour et le chocolat...
Un bon moment, léger mais beau comme la chanson de Souchon qui sert de titre au roman. J'ai aimé de nombreuses petites phrases sur le monde qui va trop vite et sur la vanité de nos relations humaines.
Léger certes, mais pas inconséquent ;o)
Un bon moment, léger mais beau comme la chanson de Souchon qui sert de titre au roman. J'ai aimé de nombreuses petites phrases sur le monde qui va trop vite et sur la vanité de nos relations humaines.
Léger certes, mais pas inconséquent ;o)
il est dans ma liste d'envies, voilà qui ferait une bonne lecture de vacances!
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