Editions Grasset
Parution : 11 mai 2016
176 pages
Ce qu'en dit l'éditeur :
Un palace de la Riviera, un alcoolique mondain, une diva sur le retour
et des voyous qui rôdent… Armand Deshordes boit pour oublier que ses
amours sont vouées à l’échec. Fabiola di Orsola exaspère dans l’hystérie
sa crainte d’avoir perdu sa voix. Une semaine les sépare du récital
qu’elle doit donner à l’Opéra de Monte-Carlo. Elle attend d’Armand qu’il
l’aide à préparer ce come-back très incertain. Quelle est la
plus folle des deux ? Quand il croit enfin la rejoindre, il découvre
qu’elle a vidé les lieux. Quelques heures peut-être, mais quelques
heures de trop… Livré à lui-même, à bout de solitude et de mélancolie,
Armand va partir à la dérive d’une aventure où le désir devient danger.
Et ivresse de la perdition.
Un roman conçu comme un triptyque, tels les trois actes d’une tragédie teintée de lyrisme et de sarcasme.
Un roman conçu comme un triptyque, tels les trois actes d’une tragédie teintée de lyrisme et de sarcasme.
Stéphane Corvisier est né à Paris en 1973 où il enseigne la littérature. Il a publié chez Grasset, en 2011, un premier roman remarqué, Reine de nuit.
Ce que j'en ai pensé :
Grandeur et décadence...Homosexualité et alcool...pour se perdre, s'oublier, étourdir la honte et la solitude.
Une tragédie servie par une narration (trop) précieuse à grands renforts d'interjections italiennes ou de locutions latines, des phrases (trop) travaillées, une ambiance (trop) nostalgique...
Beaucoup de "trop" dans ce court roman ! Je suis passée à côté, insensible à la douleur des personnages, à l'émotion exacerbée (celle d'Armand prof homosexuel et musicologue, celle de Fabiola, diva fragile).
Je n'ai pas compris la finalité de ce livre comme s'il n'était que le constat d'une déchéance, qu'un état des lieux avant la chute.
Dommage !
Grandeur et décadence...Homosexualité et alcool...pour se perdre, s'oublier, étourdir la honte et la solitude.
Une tragédie servie par une narration (trop) précieuse à grands renforts d'interjections italiennes ou de locutions latines, des phrases (trop) travaillées, une ambiance (trop) nostalgique...
Beaucoup de "trop" dans ce court roman ! Je suis passée à côté, insensible à la douleur des personnages, à l'émotion exacerbée (celle d'Armand prof homosexuel et musicologue, celle de Fabiola, diva fragile).
Je n'ai pas compris la finalité de ce livre comme s'il n'était que le constat d'une déchéance, qu'un état des lieux avant la chute.
Dommage !
Je pars en courant...!
RépondreSupprimerLe commentaire de Noukette me fait vraiment rire .. mais je la suis !
RépondreSupprimerJe te fais confiance et je passe mon tour ^^
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