Editions Pocket
Parution : 13 mars 2014
352 pages
Ce qu'en dit l'éditeur :
Elsa Préau est une retraitée ordinaire. Une vieille dame un peu trop
seule qui observe ses voisins pour tromper l’ennui. Et qui, à force
d’épier, se persuade que la famille d’à côté a des choses à cacher.
En plus de leurs deux enfants, rayonnants, un troisième apparaît parfois – triste, maigre, visiblement maltraité. Un enfant qui semble appeler à l’aide. Un enfant qui lui en rappelle un autre…
Aider ce petit garçon devient alors pour Elsa une véritable obsession.
Mais que faire, seule, face à la police et aux services sociaux qui lui affirment qu’il n’existe pas ?
En plus de leurs deux enfants, rayonnants, un troisième apparaît parfois – triste, maigre, visiblement maltraité. Un enfant qui semble appeler à l’aide. Un enfant qui lui en rappelle un autre…
Aider ce petit garçon devient alors pour Elsa une véritable obsession.
Mais que faire, seule, face à la police et aux services sociaux qui lui affirment qu’il n’existe pas ?
Sophie Loubière est une journaliste, productrice, écrivain, spécialiste
de musique de film, née en 1966 à Nancy, en Lorraine. Après avoir suivi des études littéraires (Lettres Modernes option
Audiovisuel à la Faculté de Nancy), elle participe aux radios libres
nancéiennes et se consacre à l'écriture.
Ce que j'en ai pensé :
Rhôô ! Madame Loubière, ce coup-ci, vous m'avez épatée ! j'avais déjà beaucoup aimé Dans l'oeil noir du corbeau, mais là, wahou !!
L'intrigue est prenante mais au-délà de toute considération sur la nature du polar, ce que j'ai aimé plus que tout c'est le personnage d'Elsa Préau, travaillé au scalpel, qu'on hésite à aimer ou à mépriser.
Cette vieille "folle" qui écrit à toutes les institutions pour se plaindre de la poussière, de la maltraitance envers les enfants, contre le système éducatif. Une dingo attachante que personne n'entend plus quand elle se plaint, tente d'alerter.
Et finalement, y a-t-il seulement un enfant maltraité dans la maison de ses voisins ? ou s'agit-il d'une élucubration de plus de la part d'une vieille personne seule qui a placé presque 200 pièges à souris dans sa maison ?
Bravo ! Ce polar m'a happée jusqu'aux pages finales, et c'est presque miraculeux tant je deviens "difficile" !
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