Editions
Pocket
Parution :
12 mai 2016
600
pages
Ce
qu'en dit l'éditeur :
«
Au commencement était la peur… »
Hors
des flots déchaînés, une main tendue vers le ciel. Un pont de
bateau qui tangue, la pluie qui s’abat, et la nuit… Le début
d’une « putain d’histoire ».
Une histoire d’amour et de peur, de bruit et de fureur. L’histoire de Henry, 17 ans, que le meurtre de sa petite amie plonge dans l’enfer du soupçon. Sur son île, Glass Island, battue par les vents, cernée par la brume 360 jours par an et uniquement accessible par ferry, tout le monde connaît tout le monde, jusqu’au plus noir de ses secrets. Ou du moins le croit-on.
Une histoire d’amour et de peur, de bruit et de fureur. L’histoire de Henry, 17 ans, que le meurtre de sa petite amie plonge dans l’enfer du soupçon. Sur son île, Glass Island, battue par les vents, cernée par la brume 360 jours par an et uniquement accessible par ferry, tout le monde connaît tout le monde, jusqu’au plus noir de ses secrets. Ou du moins le croit-on.
Quand la peur gagne, la vérité s’y perd…
Ce
que j'en ai pensé :
Ne
cherchez pas Servaz dans ce thriller, l'histoire qui est tissée sous
les yeux du lecteur ne le concerne pas !
L'auteur nous emmène
cette fois au nord-ouest des USA (entre Seattle et Vancouver) à la
suite d'un ado de seize ans (et non 17 comme indiqué dans le résumé
de l'éditeur) dont la petite amie a été assassinée.
Un
gamin bien sous tous rapports, passionné par les films d'horreur et
par la musique de Nirvana, bien intégré au lycée au milieu d'une
bande de copains.
Sauf qu'il a été adopté (et s'interroge un brin
sur ses origines) par deux lesbiennes et qu'il a l'absolue
interdiction d'apparaître sur les réseaux sociaux…
Entre
caïds sanguinaires, flics sans doute corrompus, secrets et
maître-chanteur, et surtout Big Brother qui veille, le thriller de
Bernard Minier prend un tour inattendu !
Et pour une fois, je
n'ai rien vu venir ! (ce qui veut dire aussi que l'opus est
sacrément retors!) !!
Narration tendue, ambiance très glauque et violente par moments, intrigue fine, personnages convaincants, BANCO !
(et dire que jusqu'il y a 2 mois je snobais les polars de cet auteur !....)
Comme quoi certains auteurs peuvent nous faire changer d'avis sur leur compte, c'est rassurant ;)
RépondreSupprimerje trouve la couverture affreuse - si tu n'avais pas décrit l'histoire, j'aurais cru à un roman fantasy et non un polar et je n'aime pas le titre. Je connais bien les îles dans cette région cependant, c'est magnifique ! Je passe mon tour (ma pal me remercie!)
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