Editions
du Livre de Poche
Parution
: 7 février 2018
288
pages
Ce
qu'en dit l'éditeur :
Rentrer
chez soi.
Tout
oublier après le cadavre de trop, vingt ans dans la police à
collectionner les «ides»: homicides, infanticides, parricides... À
peine quadragénaire, le commissaire Amaury Marsac a
l’impression de porter mille ans de noirceur sur ses épaules. Il
n’en peut plus. Il fuit Paris direction le village de ses
origines.
Mais alors qu’il renoue avec Elsa, son amour de jeunesse, une vieille dame est retrouvée morte chez elle, égorgée et tondue, un morceau de tissu bleu cousu au niveau du cœur.
Mais alors qu’il renoue avec Elsa, son amour de jeunesse, une vieille dame est retrouvée morte chez elle, égorgée et tondue, un morceau de tissu bleu cousu au niveau du cœur.
Cette
femme, c’est Marianne, une figure bienveillante de son passé.
Horrifié, Marsac s’impose dans l’enquête. De nouveau happé par
les sombres coulisses de l’âme humaine, il va devoir démêler
passions amoureuses et superstitions, blessures de l’enfance et
cicatrices de l’Histoire jamais refermées.
Ce que j'en ai pensé :
Premier essai réussi pour ce polar même si la mention "thriller" est un peu trompeuse selon moi. Si l'enquête est passionnante, on est loin d'une mise sous suspens intenable.
Les personnages sont bien travaillés, leur psychologie étudiée (notamment pour Marsac qui traîne un blues énorme et sans doute une sale histoire accrochée à ses pompes) et l'enquête est bien menée, les doutes instillés dès les premières pages où s'entrecroisent les fils de la défunte, assommés d'alcool, d'une bêtise crasse et de violence larvée, un barman bien facho, deux vieux rebouteux, une bigote et Elsa qui s'occupe de Manon sa sœur déficiente mentale.
Sans compter que ce coin de campagne n'est pas à l'abri des superstitions et de son lot de ragots.
Ça se lit avec beaucoup de plaisir et c'est très prometteur pour un prochain opus !
Ce que j'en ai pensé :
Premier essai réussi pour ce polar même si la mention "thriller" est un peu trompeuse selon moi. Si l'enquête est passionnante, on est loin d'une mise sous suspens intenable.
Les personnages sont bien travaillés, leur psychologie étudiée (notamment pour Marsac qui traîne un blues énorme et sans doute une sale histoire accrochée à ses pompes) et l'enquête est bien menée, les doutes instillés dès les premières pages où s'entrecroisent les fils de la défunte, assommés d'alcool, d'une bêtise crasse et de violence larvée, un barman bien facho, deux vieux rebouteux, une bigote et Elsa qui s'occupe de Manon sa sœur déficiente mentale.
Sans compter que ce coin de campagne n'est pas à l'abri des superstitions et de son lot de ragots.
Ça se lit avec beaucoup de plaisir et c'est très prometteur pour un prochain opus !
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