Editions La manufacture de livres
Parution : 7 janvier 2021
232 pages
Ce qu'en dit l'éditeur :
Quand Élisabeth et Stéphane déménagent loin de l’agitation parisienne avec leur fille Maëva, ils sont convaincus de prendre un nouveau départ. Une grande maison qui leur permettra de repartir sur de bonnes bases : sauver leur couple, réaliser enfin de vieux rêves, retrouver le bonheur et l’insouciance. Mais est-ce si simple de recréer des liens qui n’existent plus, d’oublier les trahisons ? Et si c’était en dehors de cette famille, auprès d’autres, que chacun devait retrouver une raison de vivre ?
Dans son premier roman, Carine JOAQUIM décrypte les mécaniques des esprits et des corps, les passions naissantes comme les relations détruites, les incompréhensions et les espoirs secrets qui embrasent ces vies.
Ce que j'en ai pensé :
Dubitative.
Ce
roman ne m'aura finalement pas emportée..
C'est
l'histoire d'un couple qui pour se donner une seconde chance
s'installe en province (son infidélité à lui ayant provoqué une
crise conjugale et les troublés alimentaires de madame), leur fille
ado trépigne de rage à l'idée de s'installer chez les "bouseux"
et de quitter son lycée parisien.
Évidemment, rien ne se passe
jamais idylliquement..,
Bien, pour faire court, j'ai aimé le style. Mais c'est à peu près tout.
C'est un roman qui suggère tellement de thèmes sans les
approfondir que je me suis sentie frustrée : crise et usure du
couple avec infidélité à la clef, harcèlement scolaire, handicap
(syndrome Gilles de la Tourette), réseaux sociaux, migrants sans
papiers et mineurs isolés, crise d'adolescence et découverte de la
sexualité, déni de grossesse et néonaticide, etc, etc..
Mauvaise
pioche pour ce premier roman .
Sapristi: le sceau est plein. C'est trop de thèmes à la fois. Dommage, cependant, car il semble y avoir plusieurs bons filons...
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