Je suis tombée par hasard sur une pépite de littérature, d'un auteur que je ne connaissais que de nom :
C'est
au fin fond de la contrée d'Atôra, au nord-est de l'île de Honshu,
que Matabei se retire pour échapper à la fureur du monde. Dans cet
endroit perdu entre montagnes et Pacifique, se cache la paisible
pension de dame Hison dont Matabei apprend peu à peu à connaître
les habitués, tous personnages singuliers et fantasques. Attenant à
l'auberge, se déploie un jardin hors du temps. Insensiblement,
Matabei s'attache au vieux jardinier et découvre en lui un
extraordinaire peintre d'éventail."
Il devient le disciple dévoué de maître Osaki. Fabuleux labyrinthe aux perspectives trompeuses, le jardin de maître Osaki est aussi le cadre de déchirements et de passions, bien loin de la voie du zen - en attendant d'autres bouleversements... Avec le Peintre d'éventail, Hubert Haddad nous offre un roman d'initiation inoubliable, époustouflant de maîtrise et de grâce.
Il devient le disciple dévoué de maître Osaki. Fabuleux labyrinthe aux perspectives trompeuses, le jardin de maître Osaki est aussi le cadre de déchirements et de passions, bien loin de la voie du zen - en attendant d'autres bouleversements... Avec le Peintre d'éventail, Hubert Haddad nous offre un roman d'initiation inoubliable, époustouflant de maîtrise et de grâce.
J'ai
passé 3 heures fabuleuses, à me promener entre estampes et jardins
: le texte est beau, poétique, doux comme une fleur
de cerisier... J'avais envie d'arrêter le temps, de
rester suspendue au milieu de rien (malgré ma hâte de retrouver
ceux que j'aime !). Il y avait entre ces pages comme un miracle
;o)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire