L'histoire :
1923. Elvira De Poulain, peintre espagnole vivant en France, apprend que
 son mari, un homme d'affaires établi en Chine, vient de mourir dans des
 circonstances étranges. Accompagnée par sa nièce, elle entreprend un 
long voyage en paquebot pour rejoindre la Chine post-impériale, et 
régler la succession de son époux. Dès son arrivée, elle se trouve 
embarquée malgré elle sur la piste du mausolée du premier empereur, 
immergée dans le milieu interlope des gangsters, de l'opium et des 
intrigues politiques.
Matilde Asensi est un auteur espagnol que je viens de découvrir avec "Iacobus", polar médiéval très érudit et dont le rythme ne faiblit pas au fil des pages. J'ai commandé hier deux autres de ses romans et celui-là me fait de l'oeil aussi !
L'histoire :
En Afghanistan, des années 1950 à nos jours, mais aussi à Paris dans les
 années 1970, en Californie dans les années 2000 et sur une île grecque 
aujourd’hui.  A Shadbagh, un minuscule village agricole, Abdullah, 10 
ans, s’occupe de sa petite sœur Pari. Entre les deux enfants, le lien 
est indéfectible, ce qui leur permet d’oublier la mort de leur mère, les
 absences de leur père qui cherche désespérément du travail et ces jours
 où la faim les tenaille encore plus qu’à l’habitude.  Un jour, leur 
père décide de partir pour Kaboul où l’oncle Nabi lui aurait trouvé un 
emploi et d’emmener Pari avec lui. Abdullah sent qu’il se trame quelque 
chose. Et de fait, leur père, préférant « couper un doigt pour sauver la
 main », vend Pari à la riche famille pour laquelle travaille Nabi. Une 
séparation déchirante qui pèsera sur toute la vie d’Abdullah, même après
 son exil aux Etats-Unis.  La petite Pari oublie et grandit à Paris où 
sa mère, Nila, trop libre pour la société afghane, s’est enfuie au 
milieu des années 50. Nabi est resté auprès de Suleiman, le mari de 
Nila, devenu handicapé suite à un AVC.  Des années plus tard, bien après
 la chute des Talibans, Abdullah n’a pas oublié Pari qui, elle, n’a 
jamais pu combler une sensation de vide, comme s’il lui manquait quelque
 chose d’indispensable, dont elle ignorait tout…
J'ai lu (et adoré) il y a quelques années "Les cerfs volants de Kaboul" et "Mille soleils splendides", j'attendais avec impatience son prochain roman. Au pied du sapin ?
 Le sujet : 
 Comment l’orpheline Gabrielle est-elle devenue la grande Coco Chanel ? 
Grâce aux sœurs du couvent d’Aubazine, à Adrienne Chanel, Misia Sert, 
Colette, Marie Pavlovna, Vera Bate, Marthe Davelli, Polaire, Mona 
Williams, Romy Schneider, Claude Delay…Des religieuses, une petite-fille
 du tsar, une grande muse, la cousine du duc de Windsor, des actrices, 
une jeune psychanalyste...
Sans ses amies, Chanel ne serait pas Chanel. Elles ont échangé leurs hommes, leurs bijoux, leur garde-robe, leur biographie, leur science du glamour et leur goût. Elle les aimait et les détestait. Elles le lui rendaient bien.
De cette Cendrillon, elles ont fait une reine.
Des archives, des correspondances, des témoignages inédits révèlent une Chanel terriblement vivante dans une Europe en ébullition. C’est Sex and the City avec un siècle d’avance. Marie-Dominique Lelièvre a rencontré ses amies, ses mannequins, ses ouvrières, ses petits-neveux, les petits-enfants de ses amants. De la rue Cambon à la Pausa, du Ritz au Palace hôtel de Lausanne, elle ouvre des portes secrètes.
Le premier portrait humain de Gabrielle Chanel, le Napoléon des femmes libres.
Sans ses amies, Chanel ne serait pas Chanel. Elles ont échangé leurs hommes, leurs bijoux, leur garde-robe, leur biographie, leur science du glamour et leur goût. Elle les aimait et les détestait. Elles le lui rendaient bien.
De cette Cendrillon, elles ont fait une reine.
Des archives, des correspondances, des témoignages inédits révèlent une Chanel terriblement vivante dans une Europe en ébullition. C’est Sex and the City avec un siècle d’avance. Marie-Dominique Lelièvre a rencontré ses amies, ses mannequins, ses ouvrières, ses petits-neveux, les petits-enfants de ses amants. De la rue Cambon à la Pausa, du Ritz au Palace hôtel de Lausanne, elle ouvre des portes secrètes.
Le premier portrait humain de Gabrielle Chanel, le Napoléon des femmes libres.
M-D Lelièvre avait déjà écrit une biographie passionnante de Françoise Sagan ("Sagan à toute allure"), elle s'attaque au mythe Chanel et je suis très curieuse de découvrir la face intime de ce personnage.
 



Je suis hyper jalouse de ton livre sur Chanel...je vais guetter ton avis de très près...
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