Le fils, Philipp MEYER
Vaste fresque de l’Amérique de 1850 à nos jours, Le Fils de
Philipp Meyer, finaliste du prestigieux prix Pulitzer 2014, est porté
par trois personnages, trois générations d’une famille texane, les
McCullough, dont les voix successives tissent la trame de ce roman
exceptionnel.
Eli, enlevé par les Comanches à l’âge de
onze ans, va passer parmi eux trois années qui marqueront sa vie. Revenu
parmi les Blancs, il prend part à la conquête de l’Ouest avant de
s’engager dans la guerre de Sécession et de bâtir un empire, devenant,
sous le nom de « Colonel », un personnage de légende.
À la fois
écrasé par son père et révolté par l’ambition dévastatrice de ce tyran
autoritaire et cynique, son fils Peter profitera de la révolution
mexicaine pour faire un choix qui bouleversera son destin et celui des
siens.
Ambitieuse et sans scrupules, Jeanne-Anne, petite-fille de
Peter, se retrouvera à la tête d’une des plus grosses fortunes du pays,
prête à parachever l’œuvre de son arrière-grand-père.
Il est difficile de résumer un tel livre. Porté par un souffle hors du commun, Le Fils
est à la fois une réflexion sur la condition humaine et le sens de
l’Histoire, et une exploration fascinante de la part d’ombre du rêve
américain.
Humeur noire à Venise, Olivier BARDE-CABUÇON
Des pendus qui se balancent sous les ponts de Venise comme autant de
fleurs au vent, un comte que l’on a fait le pari d’assassiner dans son palazzio.
Autant de raisons pour que Volnay, le commissaire aux morts étranges,
quitte Paris et réponde à l’appel au secours de Chiara, son ancien
amour. Il espère aussi, par ce voyage, chasser l’humeur noire de son
assistant, le moine hérétique, plongé dans une profonde dépression.
Mais, dans la Venise du XVIIIe siècle qui agonise lentement en s’oubliant dans de splendides fêtes, les rencontres et les événements ruissellent d’imprévus. Une jeune fille travestie en garçon, un auteur de théâtre, un procurateur de Saint-Marc manipulateur et son énigmatique fille entament le plus sombre des bals masqués.
Entre rêve et réalité, tragédie et comédie, Volnay et le moine se retrouvent confrontés à des assassins non moins qu’à leurs démons. Avec cette quatrième enquête du commissaire aux morts étranges en forme de parenthèse vénitienne, Olivier Barde-Cabuçon délaisse le temps d’un roman le royaume de l’intrigue pour la ville des masques.
Mais, dans la Venise du XVIIIe siècle qui agonise lentement en s’oubliant dans de splendides fêtes, les rencontres et les événements ruissellent d’imprévus. Une jeune fille travestie en garçon, un auteur de théâtre, un procurateur de Saint-Marc manipulateur et son énigmatique fille entament le plus sombre des bals masqués.
Entre rêve et réalité, tragédie et comédie, Volnay et le moine se retrouvent confrontés à des assassins non moins qu’à leurs démons. Avec cette quatrième enquête du commissaire aux morts étranges en forme de parenthèse vénitienne, Olivier Barde-Cabuçon délaisse le temps d’un roman le royaume de l’intrigue pour la ville des masques.
Tu as raison, il y a un vrai souffle dans Le fils. J'ai lu un Barde-CAabuçon et je n'ai pas du tout accroché. Pourtant, entre Venise et moi,c'est une histoire d'amour.
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