éd GALLIMARD - avril 2015 - 128 pages
Ce qu'en dit l'éditeur :
Le narrateur, à la demande d’une psychiatre, raconte les événements qui, en l’espace de cinq jours, ont dévasté sa vie.
Tout commence lorsque ce vendeur de téléphones mobiles apprend le décès de son père, avec lequel il entretenait des rapports très lointains. Afin d’organiser les obsèques, le jeune homme se rend dans la petite ville où vivait le défunt et s’installe dans la maison paternelle. Il fait alors une découverte terrifiante qui le plonge, au fil d’un enchaînement insidieux de faux pas, dans une situation cauchemardesque.
On retrouve ici ce qui faisait la force du premier roman d’Alexandre Postel : une narration implacable et ironique, qui donne au récit la forme d’une tragédie. Le sentiment de culpabilité, au centre du texte, génère une atmosphère trouble et inquiétante : jusqu’à la dernière ligne, le lecteur hésite entre l’empathie, la révolte et l’effroi.
Tout commence lorsque ce vendeur de téléphones mobiles apprend le décès de son père, avec lequel il entretenait des rapports très lointains. Afin d’organiser les obsèques, le jeune homme se rend dans la petite ville où vivait le défunt et s’installe dans la maison paternelle. Il fait alors une découverte terrifiante qui le plonge, au fil d’un enchaînement insidieux de faux pas, dans une situation cauchemardesque.
On retrouve ici ce qui faisait la force du premier roman d’Alexandre Postel : une narration implacable et ironique, qui donne au récit la forme d’une tragédie. Le sentiment de culpabilité, au centre du texte, génère une atmosphère trouble et inquiétante : jusqu’à la dernière ligne, le lecteur hésite entre l’empathie, la révolte et l’effroi.
Alexandre POSTEL, né en 1982 a reçu le Prix Goncourt
du premier roman pour Un homme effacé
Ce que j'en en pensé :
128 pages pour transformer le destin d'un homme banal en une spirale infernale ! Alors que l'histoire commence simplement par le décès de son père, le narrateur embarque pour une série d'actes manqués, de quiproquos, de révélations sur son "ascendant" et s'enferme dans un scénario où il ne maîtrise plus rien et où, malgré la mort, son père le manipule, le contraint, l'enfonce plus profond dans l'irréparable.
La narration est impeccable, intelligente, l'ambiance habilement décrite, l'angoisse monte par crans et ferait de ce roman un très bon polar !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire