Editions
du Masque
Parution
: 31 mai 2017
352
pages
Ce
qu'en dit l'éditeur :
Panique
à Paris, la peste est de retour ! Voltaire aussi !
Une maladie mystérieuse affole la capitale, et voilà notre philosophe assailli de toutes parts. Policiers et médecins sont à ses trousses, mais plus étrange encore, Voltaire est poursuivi par un Anglais nommé Hyde et par son frère Armand, religieux intransigeant avec qui on le confond sans cesse. Tandis qu'il s'efforce de répandre ses lumières sur les populations effrayées, la police continue hélas de penser que c'est encore la faute à Voltaire.
Nous voici à nouveau embarqués dans une réjouissante aventure du philosophe le plus pétulant de l'histoire de France, plein d'esprit et de férocité pour ses contemporains, enquêteur égocentrique, jamais à court d'idées, mais toujours là pour faire éclater la vérité.
Une maladie mystérieuse affole la capitale, et voilà notre philosophe assailli de toutes parts. Policiers et médecins sont à ses trousses, mais plus étrange encore, Voltaire est poursuivi par un Anglais nommé Hyde et par son frère Armand, religieux intransigeant avec qui on le confond sans cesse. Tandis qu'il s'efforce de répandre ses lumières sur les populations effrayées, la police continue hélas de penser que c'est encore la faute à Voltaire.
Nous voici à nouveau embarqués dans une réjouissante aventure du philosophe le plus pétulant de l'histoire de France, plein d'esprit et de férocité pour ses contemporains, enquêteur égocentrique, jamais à court d'idées, mais toujours là pour faire éclater la vérité.
Ce
que j'en ai pensé :
J'aime
ce rendez-vous avec Voltaire, et surtout son évidente mauvaise foi !
Le personnage toujours haut en couleurs ne faiblit pas, le verbe est
truculent, le trait d'humour sous-jacent (Voltaire hybridé avec les
Tontons flingueurs ?), c'est à chaque fois la régalade !
Cet
opus-là m'a pour autant un peu moins plu que les précédents, je
n'ai pas aimé cette histoire de peste et, en plus, à part le clin
d'oeil, je n'ai pas compris l'allusion à Sir Hyde qui aurait bien
voulu kidnapper le philosophe pour l'intégrer à son musée des
bizarreries....Cela n'ajoute rien à l'intrigue (sauf la situation
cocasse et les jeux de mots).
Un
bon cru, pas le meilleur, mais deux heures de plaisir, c'est déjà
ça !
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