Bilan de février 2017

18 livres ce mois-ci (5 755 pages) ! J'explose les compteurs ! Il faut dire que j'ai une bonne excuse : immobilisée suite à une opération, je n'ai pas d'autre choix que de bouquiner..et c'est tant mieux ! C'est l'occasion de lire des auteurs suivis depuis longtemps, de faire de belles découvertes et de voir se confirmer des talents tous neufs ;o)

Les romans d'une part :


Et les polars, évidemment :

Du très bon, du moyen, et des déceptions plus ou moins fortes...

Coup de cœur absolu :
Sandrine COLLETTE, Les larmes noires sur la terre, Denoël



Mais aussi :

Christian KIEFER, Les animaux, Albin Michel


Tanguy VIEL, Article 353 du Code Pénal, Minuit

Il y a eu quelques déceptions, 

Cécile COULON, Trois saisons d'orage, Viviane Hamy (trop académique et une narration un peu morne)

Ingrid DESJOURS, Echo, Pocket (lieux communs, personnages caricaturaux)

Arnaldur INDRIDASON, Dans l'ombre, Métailié (absence d'Erlendur, enquête qui m'a laissé un goût d'inachevé)

Un bon mois partagé entre littérature française et étrangère (dont une majorité d'auteurs américains).
Et vous ? Votre coup de cœur de février 2017 ? Votre plus grosse déception ?

3 commentaires:

  1. Un très beau bilan. Certains de tes coups de coeur m'attendent. Et je partage "Les animaux" avec toi. Mon plus gros coup de coeur de février va pour le dernier Pascal Manoukian, "Ce que tient ta main droite t'appartient". Ma plus grosse déception? "Dans la forêt" de Jean Hegland.

    RépondreSupprimer
  2. Je vais lire le Collette en mars et j'espère l'aimer autant que toi. Je n'avais pas apprécié celui de l'année dernière, trop sombre pour moi.

    RépondreSupprimer
  3. Comme Fleur (bizarre, bizarre ^^) je vais lire le Collette, mais aussi le Coulon et le Viel pour notre Bibliomaniacs d'Avril.
    Dommage pour Indridason...je suis assez mitigée sur ses dernières parutions, et j'espérais un regain d'enthousiasme pour celui-ci.
    Pas de coup de coeur en Février, mais j'ai quand même beaucoup aimé une parution Sonatine, "Je vous aimais, terriblement" de Jeremy Gavron.

    RépondreSupprimer