Editions
de Minuit
Parution
: 4 janvier 2018
126
pages
Ce
qu'en dit l'éditeur :
À
défaut de pouvoir se détériorer, mes rapports s’étaient
considérablement distendus avec ma famille. Or, cet été-là, ma
cousine se mariait. J’allais donc revenir à Saint-Fourneau. Et les
revoir. Tous. Enfin, ceux qui restaient.
Mais
soyons honnête, le problème n’était pas là.
Ce que j'en ai pensé :
Autant je n'avais pas aimé Un été, autant je dois reconnaître que cet opus a fait mouche !
Même si le roman s'apparente bien plus à une nouvelle par sa longueur, même si je l'ai lu en 3/4 d'heure, que j'avais deviné la chute (ou en tout cas, le nœud de l'intrigue), j'ai beaucoup aimé l'humour grinçant et la plume de l'auteur entre tragédie et légèreté et cette galerie restreinte de personnages, leur accent campagnard et leurs manières et peu frustres, l'ambivalence qui se dessine, le poids des rumeurs et des non-dits, le double-jeu sous-jacent.
C'est malin, rapide, et c'est une vraie réussite !
Il a de quoi me plaire alors !
RépondreSupprimerIl est vraiment très bien !
SupprimerJ'ai lu et aimé ce titre et toute l'ambiance qui y règne. Je regrette juste d'avoir deviné la fin un peu tôt...
RépondreSupprimerhttps://aumilieudeslivres.wordpress.com/2018/01/04/faire-mouche-vincent-almendros/
On devine assez vite de quoi il retourne, en effet ! J'ai laissé un mot j'ai toi, chouette chronique !
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