Ce qu'en dit l'éditeur :
Une jeune femme moderne « kidnappe » sa grand-mère pour lui éviter la
maison de retraite. Frédérique Deghelt livre un intimiste récit à deux
voix. A travers le charme délicat de l’aveu, d’une écriture légère, elle
procure à ses personnages la force et l’audace de réinventer leur vie.
Pour éviter à sa grand-mère – Mamoune au parfum de violette et de fleur
d’oranger – un placement en maison de repos, Jade « l’enlève » et
l’installe dans son appartement parisien.
L’octogénaire savoyarde et la jeune femme célibataire, journaliste
indépendante, vont tisser avec douceur et simplicité une vie commune
nourrie de leurs souvenirs. Mais, derrière les choses ténues du
quotidien, c’est l’émouvante tragédie de la vie qui se déroule. Celle-ci
se dévoile dans les récits croisés des deux femmes, l’une, écrivain en
devenir, l’autre, lectrice passionnée qui a secrètement fait de ses
montagnes savoyardes son cabinet de lecture. Se construit alors un
échange littéraire au cours duquel elles se livrent et se découvrent.
Jade, qui concevait sa vie sans ancrages ni repères, apprend de sa
grand-mère que c’est dans la confiance et l’acceptation de l’autre, et
seulement là, que l’on a des chances d’être soi. Grâce à Mamoune,
touchante dans sa dignité chancelante, l’appartement de Jade devient le
lieu de tous les possibles.
Habilement, de sa prose douce et bienveillante, Frédérique Deghelt nous
raconte la libération d’une jeune femme perdue dans l’agitation de sa
vie. Et livre le portrait étonnant et tendre d’une grand-mère en qui
éclot un sentiment amoureux imprévisible.
Ce que j'en ai pensé :
Je ne vais pas y aller par quatre chemins, je me suis ennuyée ! Je n'ai pas réussi à me laisser emporter par cette "belle" histoire, je l'ai trouvée trop bavarde, un peu gnan-gnan à la GAVALDA..
J'ai eu l'impression de tourner en rond, de ne pas m'attacher aux personnages alors que j'ai abordé les premiers chapitres avec l'envie d'en connaître un peu plus sur cette grand-mère passionnée de livres. Il m'a manqué un peu de peps pour poursuivre ma lecture malgré quelques belles phrases sur la littérature. Trop d'agacements pour des bricoles, des choses convenues, gentillettes, pleines de bons sentiments.
J'ai abandonné à la page 153, mais finalement, c'était déjà pas si mal pour un bouquin à qui je donnais une deuxième chance : en le choisissant tout à l'heure, je me suis rendue compte qu'un ticket de bus marquait la page 34. Finalement, c'était moins "pire" qu'à ma première tentative !
(et j'avoue que pour autant je culpabilise un peu de ne pas avoir aimé, je n'ai lu que des avis positifs....)
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