Editions
Stock
Parution
: 25 avril 2018
144
pages
Ce
qu'en dit l'éditeur :
«
La nuit, chaque ruelle parcourue réveille un crépitement d’images.
Le claquement des talons imprime dans ma tête le pouls de la ville.
»
Huit ans plus tard, le temps d’un été, un homme retrouve la ville de Palerme. Il habite un ancien palais sur les hauteurs, une bâtisse appelée à disparaître. Une dernière fois, il va arpenter les rues, celles de la vieille ville surtout. Des marches le plus souvent nocturnes, de cafés en cafés, de corps en corps. Le souvenir de Délia remonte alors.
Huit ans plus tard, le temps d’un été, un homme retrouve la ville de Palerme. Il habite un ancien palais sur les hauteurs, une bâtisse appelée à disparaître. Une dernière fois, il va arpenter les rues, celles de la vieille ville surtout. Des marches le plus souvent nocturnes, de cafés en cafés, de corps en corps. Le souvenir de Délia remonte alors.
Ce
que j'en ai pensé :
Texte
lancinant et poétique qui joue sur les souvenirs du narrateur, qui
le fait se promener dans les ruelles de cette Sicile étouffée de
chaleur...
Des
souvenirs d'un autre temps, pas si éloigné, où il aimait Délia,
disparue on ne sait comment.
Des
souvenirs de chairs enlacées, de sexe et de chaleur, de
photographies et de lettres, de plage et de passegiata langoureuse.
Le
roman est minuscule, bercé par la lumière de l'Italie, par la
sensualité qu'il dégage...
Une
parenthèse délicate à la prose ciselée, qui m'a toutefois paru un peu trop elliptique parfois.
Dans l’air du temps avec cette chaleur mais pour la poésie et la Sicile, c’est tentant
RépondreSupprimeret il se lit très vite !!
Supprimer